La crise du Coronavirus, qui a démarré à l’hiver 2020, nous aura permis de goûter un grand nombre de versions du principe de précaution. Jugez-en par vous-même!

Si on prend les choses par ordre chronologique, les premières manifestations de la précaution, c’était la non-précaution: “ce virus n’arrivera pas jusqu’en France”; “allez au théâtre, au cinéma – il faut sortir!”; etc.

Puis la précaution suivante, c’était de ne plus bouger: sauvez des vies, restez chez vous, etc.

Puis, fin mars, la précaution que je trouve personnellement la plus remarquable de toute la crise: n’allez surtout pas prendre en guise de traitement une molécule que l’on connaît et utilise depuis 1955, qui est prise de manière routinière en prévention!

Au même moment, la précaution à prendre contre un virus dont on ne sait pas encore bien s’il est aéroporté ou pas, c’est de ne pas porter de masque, sauf si on est en première ligne.

Puis, par précaution toujours, les études françaises qui auraient permis de savoir une fois pour toutes si la molécule citée ci-dessus est efficace, sont définitivement arrêtées.

Plus tard, le port du masque sera obligatoire dans bien des circonstances – et la précaution qui consisterait à s’assurer d’une part de bien respirer, et d’autre part de ne pas s’auto-infecter avec virus et bactéries, ne traversera hélas pas l’esprit de nos dirigeants.

Plus récemment, les précautions anti-virales comptent parmi elles les fermetures de bars et restaurants et de lieux culturels; les couvre-feux et reconfinements, même après l’aveu de la bouche d’Olivier Véran que c’est “confiné qu’on s’infecte”.

Enfin, dans l’ère actuelle, la précaution consiste à se faire injecter un vaccin qui n’en est pas un – puisqu’un produit injectable n’est appelé vaccin que lorsque la preuve qu’il empêche la personne d’être contagieuse a été faite – au moment précis où aucune étude n’a permis d’observer ses effets plus de quelques semaines; où les seules études publiées sont celles des laboratoires fabriquant le vaccin; où les premiers retours sur l’absence d’effets secondaires ne sont pas encourageants.

Et si j’étais complotiste, je rajouterais, concernant les vaccins à ARN messager: ces soi-disant vaccins, développés en un temps record – la norme serait autour de 8 ans pour les derniers vaccins développés – et qui sont les premiers “vaccin” à ARN injectés à grande échelle à l’homme… et bien cela ressemble comme deux goutes d’eau à une expérimentation sur l’humain à l’échelle de la planète, n’est-ce pas?

Et vous, quelle idée vous faites-vous du principe de précaution?

Catégories : corona-questions

0 commentaire

Laisser un commentaire

Emplacement de l’avatar

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *